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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 15:44
Avis de lectrice

Une amie algérienne ayant dû quitter son pays au moment de la guerre civile contre les islamistes a lu mon livre et m'envoie ce commentaire, bien trop élogieux il est vrai, mais si bon pour mon ego...

Sachant qu'elle fut scolarisée principalement en arabe (elle est architecte de formation), on lui pardonnera bien sûr les quelques lourdeurs de syntaxe que l'on trouve dans le commentaire qu'elle a pris la peine de rédiger.

En tout cas, je suis particulièrement sensible au fait qu'une femme algérienne ait compris - elle qui pourtant aurait eu quelques motifs légitimes de s'offusquer pour avoir subi in situ le machisme de sa société et connu dans son pays ce que peuvent faire les "barbus" aux femmes lorsqu'ils prennent le pouvoir dans un village et font régner la terreur - que mon histoire n'était nullement une apologie des comportements et des propos de mes personnages mais tout le contraire.

"Connaissant peu l’auteur (mais un peu quand même) et l’image que j’en ai gardé c’est plutôt celle de l’éducateur et enseignant en Algérie, pays où la mixité est loin d’être la règle et la femme aux yeux des hommes et surtout des adolescents une réalité bizarre que l'on cache et qu'on ne saurait voir. Cela m’a un peu perturbée de savoir que lui aussi a connu à un moment de sa vie et toute proportion gardée, ce rapport étrange à l’autre sexe.

Mais au fur et à mesure que j’avançais dans la lecture du roman, car c’est bien de cela qu’il s’agit, la force et la justesse des mots, la beauté de l’écriture, la capacité et la maîtrise de la langue française avec un grand F à s’enrichir par l’apprentissage classique, la rédaction du parler vivant ainsi que l'immortalisation des expressions populaires, l’intégration des langues étrangères et en particulier l’anglais m’ont transportée comme par magie et m’ont permis de voyager vers cette époque finalement très innovante : évolution vers une société ouverte, relations sociales, géographie des lieux, une description des paysages que seul un regard aiguisé peut en saisir les formes, les couleurs, le mouvement, l’Histoire se mêlant aux histoires des gens, le début de ce que sera la musique universelle

Un travail de recherche très fouillé, la capacité de l’auteur à nous faire plonger dans l’atmosphère des lieux et des personnages exactement comme si nous y étions. Bref, nous avons là un exemple réussi d'oser aborder un sujet délicat avec légèreté .... tout en assumant le langage cru!

L’écrivain revient sur cette époque qui n’est pas si lointaine et pourtant tellement incroyable! Il a su nous fait revivre ce que lui-même a vécu sur ce territoire au milieu d'autres adolescents au summum de l'âge ingrat.

Ce qui est extraordinaire, à la fois touchant et intelligent, c’est que le romancier replonge dans son passé et décrit les événements avec la même fraîcheur d’antan comme s'il en était le témoin à la fois naïf et curieux et nourri de toutes ses expériences d’homme qui a traversé les époques.

La narration n’obéit pas vraiment au classique triptyque introduction / Développement / dénouement de la narration. Peut-être, l' histoire est trop longue, la fin sans intrigue voire plate. Peut-être!

Mais personnellement, j’en ressors attendrie par ces adolescents et à la fois avec la certitude d’avoir fait un long voyage.

Merci! "

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 15:07
Le prince des parquets-salons en dédicace à Moulins

Cet article pour vous informer que je serai dans la banlieue de Moulins (à Yzeure) dimanche prochain 30 mars, de 14h à 18h pour présenter et dédicacer mon roman, "Le prince des parquets-salons" à d'éventuels lecteurs.

Au cas où cela intéresserait quelqu'un, ci-joint, article de la Montagne, décrivant les activités de l'association "pré-textes", dont je suis membre depuis peu, et qui m'a invité à sa "caravane littéraire" du dimanche 30 mars à Yzeurespace, au cours de laquelle je dédicacerai mon bouquin.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 14:57
Nouvel avis de lecteur

Il s'agit d'une lectrice en l'occurrence, une collègue du lycée de Corbeil-Essonnes où j'ai enseigné 10 ans, prof agrégée de philo, qui a fini sa carrière à l'université de Bourgogne. Elle est, elle aussi, l'auteur d'un roman publié chez l'Harmattan. Voir la pièce attachée si ça vous intéresse.

"J'ai ressenti l'ambiance que tu décris, comme peu désirable, mais pourtant elle m'a semblé très touchante. La recherche de soi y est très forte, mais avec des moyens qui font un peu de peine. Pourtant il y a de l'humour, et tu as l'art de ne pas esquiver la dérision, tout en restant bienveillant vis à vis de tous ces jeunes que tu mets en scène et dont tu fais partie. Les effets de langage sont bien réussis, nous avons déjà échangé sur ce point. Il y a aussi des moments très drôles. Au total j'ai bien aimé et je suis entrée petit à petit dans le jeu, avec un certain plaisir de la connivence. Une des choses qui m'a bien amusée est l'épisode des livres "interdits" empruntés quelque temps pour s'en faire un petit revenu en en faisant la lecture de certains passages ! L'innocence mêlée à la perversité, et plus simplement, la débrouillardise, est bien rendue.

Ce que tu as écrit est sans doute un témoignage et une analyse d'un milieu et d'une époque plutôt qu'un roman si l'on entend par ce terme un récit de fiction où rien n'est vrai même si tout semble l'être, et avec une intrigue. Ceci dit, ton récit, qui est fait de souvenirs reconstruits, plus ou moins transposés, est en quelque sorte le roman d'un début de vie, celui du passage à l'âge adulte, et on finit par s'attacher aux "personnages". On entre dans cette ambiance que tu traduis avec une simplicité très travaillée, qui permet de retracer des propos ou des situations assez "énormes" (en gros je n'aurais pas trop aimé être là...) en les laissant passer comme des choses anodines, et sans les juger. Derrière ce regard neutre du chroniqueur qui se contente de raconter, il y a pourtant de l'émotion."

Anne-Marie Drouin

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 17:30

Cet article est reposté depuis leprincedesparquets.over-blog.com.

L'émission littéraire "les coups de coeur de Véronique" a été diffusée le 17/1/14 à 13h40 environ sur RMB (Radio Montluçon bourbonnais). Dans sa chronique hebdomadaire, la journaliste Véronique Thabuis avait choisi cette semaine, de parler de mon roman, "le prince des parquets-salons".

Certaines personnes ayant été averties de la date de de l'heure de diffusion à l'avance ont néanmoins raté l'émission car elle a commencé avant l'heure que j'avais indiquée.

On peut cependant écouter cette chronique en podcast dès le 18/1/14 en suivant les instructions suivantes :

- Cliquer sur le lien ci-dessous :
http://www.radiormb.com/podcasts/les-coups-de-coeur-de-veronique-22/

- Puis, une fois sur la page "les coups de coeur de Véronique", cliquer là où sont indiqués le titre du livre et mon nom : Le prince des parquets-salons, par Jean-claude Fournier.

Bonne écoute peut-être

Le prince des parquets-salons sur radio RMB
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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 10:24

Emission "D'une plume à l'autre" à "Radio coquelicot" diffusée sur le net à l'adresse suivante : http://www.radiocoquelicot.com/emission/155/Hebdomadaire.htm
Jean-claude Fournier y parlera de son roman "le prince des parquet-salons" le mardi 14/1 à 10h, le mercredi 15/1 à 8h et le jeudi 16 à 15h
Et si on ne peut entendre l'émission à ces dates et à ces heures-là, on peut aller à l'adresse net indiquée ci-dessus, chercher la page de l'émission (D'une plume à l'autre), trouver mon nom (Jean-claude Fournier) sur cette page en faisant défiler vers le bas et cliquer sur la flèche pour entendre l'émission. Si l'on ne veut pas entendre les deux intermèdes musicaux, faire glisser le curseur vers l'avant.

Interview de Jean-claude Fournier sur Radio coquelicot
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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 13:32
L'avis d'une lectrice

Cet avis me fut envoyé par une ancienne collègue, prof de français au lycée où j'ai enseigné dix ans. Il concerne une ancienne version du texte (deuxième ou troisième jet je crois, non encore corrigé par d'autres que moi à l'époque), bien avant la publication, alors que je cherchais encore un éditeur.

Je vous le livre in extenso, bien qu'il contienne quelques critiques concernant des défauts qui ont été en partie corrigés depuis , en tenant compte du présent avis que je considère comme pertinent et à la demande de m'on éditeur qui souhaitait un texte moins long. Les suppressions effectuées concernent en effet principalement les défauts soulignés par cette amie et en particuliers les :souvenirs autobiographiques non nécessaires. En revanche et c'est vous qui jugerez, le livre n'étant pas un thriller, je n'ai pas essayé, comme elle le suggère, de lui donner plus de suspens dramatique. je ne suis pas sûr, d'ailleurs, que j'en aurais été capable et cela ne correspondait pas à ce que je voulais faire. Il s'agit d'une tranche de vie et de la peinture d'une époque et je reconnais qu'il y a un certain côté répétitif qui correspond tout à fait à la succession des bals qui constituaient l'essentiel de nos horizons d'attente à l'époque et à la quête d'un graal qui s'éloigne au fur et à mesure qu'on le poursuit.

Voici donc cet avis, émis dès le 30/1/2010 :

"Voici mes impressions de lectrice du "Prince des parquets-salons".

Je t'avais dit qu'à la lecture des toutes premières pages, javais pensé que ce texte était porté par une véritable écriture. je le pense toujours et ce n'est pas un mince compliment.

J'ai été emportée par la truculence du langage, par la place occupée par le narrateur, à la fois partie prenante de ce riche monde montluçonnais et doublement décalé : d'une part en tant qu'intello de la bande qui participe en commentant plutôt qu'en agissant et d'autre part en tant qu'adulte se souvenant et racontant avec le savoir acquis depuis cette époque et l'expérience qui permet de donner sens à ce qui fut vécu spontanément, presque innocemment.

Tu as su rendre savoureux cet écart permanent entre la vie locale dont le narrateur est non seulement partie prenante mais émanation directe (ses rites de terroir, ses expressions patoisantes, sa vitalité populaire) et l'agrandissement du champ qui fait de ce minuscule endroit le révélateur ou l'illustration des grands changements sociaux de la deuxième moitié du siècle.

J'ai aimé aussi ta façon de décrire les paysages naturels, urbains, industriels : précision du regard et empathie leur donnent le pouvoir de susciter le rêve.

L'évocation des parents est émouvante, parce qu'elle laisse discrètement affleurer l'affection sans embellissement ni sentimentalisme et parce qu'elle est reconnaissance des origines.

Tu semblais presque redouter une lecture féministe et même féminine, de ce récit marqué par la "libidinitude". Cet aspect ne m'a pas choquée ; j'ai même considéré que les sorties au bal de fin de semaine constituaient le fil conducteur de récit, un principe unificateur.

Ton récit est cependant un peu dépourvu de moteur narratif : sans suspens dramatique, sans énigme à percer, sans attente d'un changement bouleversant.

On a l'impression qu tu écris plus pour toi que pour le lecteur : pour le plaisir de la remémoration, pour que ces moments à jamais perdus revivent d'une autre façon. D'ailleurs certaines scènes paraissent assez répétitives.

Il me semble donc que tu aurais gagné à écourter en te privant d'éléments qui sont peut-être des souvenirs marquants mais qui concernent moins un lecteur n'ayant pas vécu cet époque et ces événements.

En tout cas, j'ai beaucoup apprécié les aspect cités précédemment et le style (haut en couleur et bourgeonnant de métaphores, il fait parfois penser à San Antonio). J'ai particulièrement goûté l'inclusion très fluide et comme nécessaire du parler local dans une langue qui peut s'amuser à être académique. Moi qui ai le même intérêt pour le vieux parler Savoyard, je n'oublierai pas le verbe "gouiller", ni le "viâ", ni le "vezon", en espérant que que ce commentaire n'aura rien d'une "achabation."

Pour info, je précise que la version à propos de laquelle réagissait cette collège ne comprenait pas de notes de bas de page expliquant les expressions locales. J'avais pris le soin de les rendre compréhensibles dans le contexte, mais mon éditeur a voulu que ces mots soient "expliqués", pensant que le texte s'inscrirait ainsi mieux dans la ligne éditoriale de Marivole, qui se spécialise dans la littérature dite "de terroir".

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:49

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Un de mes lecteurs commente l'avis donné par un autre de mes lecteurs

Vous vous souvenez ? Un de mes lecteurs avait écrit cela :

"J'ai lu ton livre avec intérêt. Tu décris avec nostalgie ton Auvergne natale, la beauté des paysages, la chaleur des relations, les espoirs et les craintes de cette bande de garçons. Ils veulent vivre et ils ont peur de se retrouver trop vite enfermés dans le mariage, avec femme et enfants. C'est ce qui explique le système grotesque de points qui valident les "succès" dans les soirées : le but est de rappeler que les relations avec les filles ne doivent pas devenir "sérieuses"et que le groupe est là pour y veiller.

Le cas de "côtelette" est différent : il veut davantage, pas seulement repousser l'échéance du mariage, mais aussi voir le monde, vivre autrement. Pour cela, il a une arme : la culture et les études, mais cela risque de ne pas être suffisant, parce qu'il peut se retrouver instituteur dans un village perdu. Heureusement, il a l'Anglais...

Il est révolté contre ce destin, mais il n'en veut pas à ses parents. Au contraire, il a de la tendresse pour eux, et son désir de vivre autrement vient d'eux et ils l'approuvent. Peut-être pourrait-il leur reprocher de lui avoir donné ce désir sans la confiance et la joie de vivre qui lui manquent...

Ce récit m'a touché et je suis content de t'avoir retrouvé en le lisant."

Un autre lecteur a réagi comme suit en lisant ce commentaire :

"Ton collègue me semble avoir vraiment bien analysé le contexte social et l'ambiance, ainsi que l'aspect autobiographique. Tout à fait d'accord avec lui. J'y ajoute, pour ma part, le plaisir, pas si courant, de la lecture d'épisodes plutôt sombres et tristes (l'horizon bouché d'une jeunesse qui cherche la sortie) racontés avec humour et, parfois, d'une manière franchement désopilante... Un régal!

Ce même lecteur m'avait déjà envoyé un mail dans lequel il me donnait son avis sur mon roman. Je vous envoie donc également cet avis ci-dessous:

""Je viens de finir "Le prince des parquets salons" et c'est un plaisir d'avoir retrouvé enfin, pour une fois, le vocabulaire et les expressions qui ont accompagné notre enfance, à l'époque où l'école tentait (avec succès sans doute!) de nous apprendre la langue académique. Un Montluçonnais n'a pas besoin de note de bas de page pour comprendre " l'achabation"!

J'ai surtout aimé la restitution de l'ambiance, pas très gaie finalement, de cette époque dont je ne suis pas plus nostalgique que ne le sont les personnages du récit. Et pourtant -heureusement- tout ça n'empêche pas le rire : le départ pour le bal à Hérisson dans la bétaillère est un morceau de bravoure! Le personnage qui joue du cor dans les cafés en costume de chasse, et à qui on interdit l'entrée du parquet, n'est pas mal non plus... Félicitations donc pour ce superbe récit et tous mes remerciements pour ce savoureux moment de lecture.

Voici également ce qu'avait dit une lectrice au sujet du premier commentaire, qui évoquait la manière dont les filles sont traitées par les garçons dans le roman. Ouf, je vais peut-être échapper à un procès en sorcellerie pour avoir tenu des propos sexistes :

"Je trouve cette analyse très juste et je la partage.Plus que le mèpris des filles que certains ,certaines plutot , t'ont reproché, c'est davantage la peur de l'engagement et de l'avenir que dénote l'attitude de la bande Je trouve aussi touchante la tendresse de Cotelette pour ses parents........Une petite précision , quand je parle de mépris des filles , il est bien évident que je ne confonds pas l'auteur avec les personnages pour qui d'ailleurs ce mépris de façade cache en réalité la grande angoisse de ces jeunes devant l'INCONNUE que représente LA FEMME .En les traitant en effet eux aussi avec une certaine affection, tu les rends sympathiques en dépit de leur muflerie....."

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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 15:17

Cet article est reposté depuis leprincedesparquets.over-blog.com.

Avis de lecteurs

Quelques avis de lecteurs :

""Je viens de finir "Le prince des parquets salons", et c'est un plaisir d'avoir retrouvé enfin, pour une fois, le vocabulaire et les expressions qui ont accompagné notre enfance, à l'époque où l'école tentait (avec succès sans doute!) de nous apprendre la langue académique. Un Montluçonnais n'a pas besoin de note de bas de page pour comprendre " l'achabation"!

J'ai surtout aimé la restitution de l'ambiance, pas très gaie finalement, de cette époque dont je ne suis pas plus nostalgique que ne le sont les personnages du récit. Et pourtant -heureusement- tout ça n'empêche pas le rire : le départ pour le bal à Hérisson dans la bétaillère est un morceau de bravoure! Le personnage qui joue du cor dans les cafés en costume de chasse, et à qui on interdit l'entrée du parquet, n'est pas mal non plus... Félicitations donc pour ce superbe récit et tous mes remerciements pour ce savoureux moment de lecture,

Bien amicalement, R. D"

""J’ai été un peu long avant de répondre à tes mails mais j’ai une bonne excuse : je tenais à finir ton bouquin que j’ai évidemment acheté pour en parler en toute connaissance de cause.... Donc très intéressé ! C’est notre jeunesse, une partie importante de notre vie - et je ferai de nombreux parallèles avec ma petite vie personnelle - et je connais quelques-uns des personnages , ne serait-ce que” le pépé” qui sauf erreur de ma part, est de ma promo !

Les exploits de l’animal sont “pur jus” et je me souviens des conférences de presse données à une promo ébahie, le lundi au retour au bercail , concernant les saillies du week-end saupoudrées des arrêts phénoménaux du Yachine local !

J’aime ton style lequel pour parler des galipettes ne sombre jamais dans la vulgarité ..

Mais à la différence de bp de journalistes (vu les extraits) j’aime surtout la fin ! J’ai noté le côté homérique “ l’Ulysse des bouchures, le Pâris d’une illiade pour pauvres, l’Achille de province ...”

J’ai noté le Code soleil qui valait bien avec la “morale professionnelle”, le bréviaire du curé !!!

J’ai voulu voir une étude sociologique (toutes proportions gardées) sur ces années 60, une vraie réalité notamment sur cette misère sexuelle avant 68 ...

Mais je n’ai pas compris le fin but de “l’Idylle éphémère” C’est le seul passage de toutes ces histoires de fesses qui m’a véritablement ému et laissé avec des points d’interrogation l Qu’as-tu voulu dire ?

(PAS tout à fait exact la ligne du dessus; j’ai beaucoup aimé “ l’échinage à dérider les zones érogènes” ! ) Du pur San Antonio mec !"

R B

"J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture du "Prince des parquets-salon" la langue est savoureuse avec ce français mâtiné de bourdonnais. Sous ce langage cru se font jour des pointes de tendresse, de nostalgie et même de romantisme. L'humour est toujours présent ainsi que l'autodérision. Les ch'tits ne cachent-ils pas sous leur mépris des filles et leurs rodomontades un mal-être certain ? Malgré le thème récurrent ce n'est ni vulgaire ni grossier et particulièrement bien écrit. Ce livre mérite d'être lu et connu."

J M

Avis de lecteurs
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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 11:45
Avis de lecteur

Un ancien collègue du lycée de Corbeil-Essonnes, où j'ai enseigné pendant 11 ans, m'a envoyé ce commentaire à propos de mon bouquin et m'autorise à vous en faire part. Je vous le transmets donc. Si vous avez lu mes élucubrations et si vous avez un avis sur le texte (négatif ou positif) il ne faut surtout pas vous gêner pour m'en faire part. En ce qui me concerne, tout avis, même critique est le bienvenu et vaut mieux que le silence.

"J'ai lu ton livre avec intérêt. Tu décris avec nostalgie ton Auvergne natale, la beauté des paysages, la chaleur des relations, les espoirs et les craintes de cette bande de garçons. Ils veulent vivre et ils ont peur de se retrouver trop vite enfermés dans le mariage, avec femme et enfants. C'est ce qui explique le système grotesque de points qui valident les "succès" dans les soirées : le but est de rappeler que les relations avec les filles ne doivent pas devenir "sérieuses"et que le groupe est là pour y veiller.

Le cas de "côtelette" est différent : il veut davantage, pas seulement repousser l'échéance du mariage, mais aussi voir le monde, vivre autrement. Pour cela, il a une arme : la culture et les études, mais cela risque de ne pas être suffisant, parce qu'il peut se retrouver instituteur dans un village perdu. Heureusement, il a l'Anglais...

Il est révolté contre ce destin, mais il n'en veut pas à ses parents. Au contraire, il a de la tendresse pour eux, et son désir de vivre autrement vient d'eux et ils l'approuvent. Peut-être pourrait-il leur reprocher de lui avoir donner ce désir sans la confiance et la joie de vivre qui lui manquent...

Ce récit m'a touché et je suis content de t'avoir retrouvé en le lisant."

Le "Moulin rouge" version champêtre

Le "Moulin rouge" version champêtre

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 10:39
Interview de jcf à Radio coquelicot

Bientôt sur les ondes ! Vous pourrez bientôt entendre Jean-claude Fournier, interviewé par radio coquelicot à propos de son roman, le Prince des parquets-salons.
Le mardi 14 janvier à 10h
Le mercredi 15 janvier à 8h
Le jeudi 16 janvier à 15h
Pour ce faire, cliquer sur le lien suivant aux heures et jours indiqués ci-dessus : http://www.radiocoquelicot.com/actualite/020/D-UNE-PLUME-A-L-AUTRE-les-invites-.html

Et si vous avez loupé l'émission aux heures et jours programmés, vous pourrez toujours l'entendre en podcast (uniquement après les dates de diffusion en direct de l'interview) en allant sur la page de l'émission : http://www.radiocoquelicot.com/emission/155/Hebdomadaire.html

Une fois sur cette page, faites-la défiler vers le bas jusqu'à une fenêtre indiquant mon nom et le titre du roman. cliquer sur la pointe de flèche pour faire démarrer l'interview, qui dure environ 50mn (extraits musicaux compris). Si vous ne voulez pas entendre les deux chansons diffusées pendant l'interview, faire avancer manuellement la bande indiquant le temps écoulé.

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